Close Eyes. (Lizzie)

Close Eyes.

Debout sur la falaise, pouvant tomber à tout instant, la mer déchainée plus de 100 mètres sous moi, les vagues chaudes d'un bleu nuit venant s'écraser sur les parois de falaise rouge créant un grand fracas, faisant un éco dans ce monde inttensément chaud, mort, vide, doté simplement et pour tout de sable et de pierre dur, coupante, rouge comme le sang.
Un air maussade, presque irrespirable que seul les vents de la mer nous procure cette minuscule sensation de froid, d'air pur. Si faible est cette sensation par rapport à la foce du vent qui reigne en maître ici... L'écho des vagues sur cette grandeur... quelques secousse parfois du au détachement des pierres que les vagues sauvages entreinaient avec elles.

°Cruelle soient-elle...°

Il n'y avait rien à faire ici, rien d'autre à faire que rêver. Mais de quoi pourrais-je bien rêver ? Moi qui ai tout vécu, tout parcouru...

°Sans doute le bonheur, c'est bie la seule chose qui ne me sois pas arrivé. Oui, en cet instant je rêve du bonheur...°

Alors je fermais les yeux et rêvais du bonheur.

Je vois la vie, un coeur, un amour, une histérie, une complicité, je vois un acquis, une vie comblée, une vie terminée accomplie comme nul autre personne ne pourrait rêver. Je vois que l'union donne nouveauté, un être, petit, fébrile mais si puissant intélectuellement, nul autre personne n'a jamais vu ça, c'est l'être parfait doté d'une beauté rarement croisée, un mental à toute épreuve, une soif de protection, une soif de repeuplade, je vois... je vois... Le danger.

J'ouvris les yeux, tourna légèrement la tête et vis un être noir posté sur mes arrières. A premier regard, j'avais cru à Devil mais non... Cet être là je ne le connaissais pas mais je ne prédissais pas plus de bien que ce que Devil était capable de faire...

Messages : 33 Réputation : 0 Date d'inscription : 14/07/2012 Age : 24

Close Eyes...
Pv Favori.

La noir marcher prêt des falaises, elle était tout là-haut. Elle avait une belle vue sur la mers, en bas, il n'y avait que des rocher où les puissantes vagues s'écraser dessus. Lizzie regardait tout droit devant elle, ces yeux était cacher par les mèches qui s'était fait envoler par le vent. Les herbes danser ensemble avec la bonne musique des mouettes qui volait au-dessus de la mers ! La crinière et la queue de Lizzie s'envolait au vent, Elle était bien, seule, sans personne , pas de guerre...Tout silencieux. Ces sabots claquait contre le sol rocailleux de la grande falaise, Elle aussi avait un passé douloureux mais elle était pas lâche, elle ne voulait pas mourir car elle à une vie, et peut-être qu'une vie à son cour. Son pelage sombre n'était pas fondu dans le paysage de la belle falaise des mers.. Elle observais ces terres car elle voulait en savoir plus sur les territoire comme sa, en guerre, elle attaquera plus facilement en connaissant parfaitement les recoins des territoires à la lettre. Mais la guerre n'allait pas encore être là, mais peut-être un peu plus tard.

Plus loin, dans sa vue, un étalon Isabelle se tenait devant elle. Lizzie était derrière celui-ci, elle approcha alors sans bruit. Elle ricana magnifiquement bien, lui, c'était l'un des plages car il sentait leur odeurs..

Mes apréhensions furent confirmées. Ses pensées étaient remplie de noir, de malheur, de guerre. Elle était en repérage pour la guerre. Mais il était trop tard pour ça. Sans lui faire face, sans même bouger, les pieds toujours au bord de la falaise je répondi a une question qui n'avait pas été posée.

-Si vous cherchez la guerre, il est trop tard. Si vous souhaitez la guerre, gardez vos souhait en suspend. Si vous voulez déclancher la guerre, alors trouvez vous une armée. Mais sur ces terres infertiles, vous ne trouverez que poussières et désolation. Et quand bien même vous chercherez plus loin, vous ne trouverez jamais aliés car la paix est revenue, c'est le renouveau d'un monde que vous avez en face de vous et non sa perte. Alors que je vous parle et que vous fulminez intérieurement, des gens s'aiment, vivent et repeuplent ces terres. Vous n'y pouvez rien. La guerre est finie depuis trois longues années et elle ne refera pas surface de si tôt. Croyez-en un conquérent.

Le regard fixé sur l'horizon, impassible, calme, confiant du futur; je ne me souciais guère de l'étrangère. Bien qu'à ses espoirs elle soit une Outlaw, aujourd'hui je n'avais pas peur de mourir. Et quand bien même, il avait été prédi ce n'est pas d'elle qu'en suivra ma mort. Alors confiant, fixe, j'observais le chamboulement des vagues et le vol instable des oiseaux mélé au vent inexistant.

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