Lorsque le vent soufflait lentement

Les plantes se balançaient au rythme du vent, les feuillages des grands arbres imposants dansaient, accompagnant le vent qui tournoyait
entre tout ce qu'il y avait sur son passage. Ma crinière se soulevait délicatement et retombait aussitôt que le vent soufflait. Ma respiration
était assez calme, mais cela ne m'empêchait pas que de n'entendre qu'elle, lorsque je galopais, j'étais dans un autre monde, je me libérais
et m’envolais au delà de mes pensées... J'étais couper du monde, autre par, j'étais peut-être là, occuper de galoper dans la forêt mais
mon esprit était ailleurs, perdu dans un tout autre paysage que là où je me trouvait maintenant, un paysage lointain qui me redonnait
vie et espoir même quand tout allait mal.

Je ralentis un peu et passa à coté d'un grand arbre imposant qui s'élançait devant moi, il semblait me regarder. Ses racines sortant du sol,
son épais branchages, ses grandes feuilles verte... Ce gigantesque arbre était dans toute sa splendeur. Il avait l'air de parler, de raconter
sa longue vie et toute les choses qu'il avait vécu et pu voir depuis bien longtemps. Nul doute, ce vieux arbre avait une très longue histoire
qu'il ne pourrait jamais finir de raconter, il avait tout vécu, avait probablement assister aux grandes guerres passées et a toute autres
histoires impressionnantes.
Je m'inclina face à lui, plia l'une de mes pattes avant et abessa la tête. Lui montrant toute ma gratitude et tout ce que je pouvais pour lui rendre hommage.

Lorsque je continua ma route, un oiseau s'envola juste devant moi. Ses ailes s'ouvrait et se refermait gracieusement. Il se posa sur la branche
d'un arbre voisin non loin de moi. Je trottina jusqu’à un petit point d'eau qui semblait calme et y bu un peu. L'eau était légèrement chaude,
chauffer par le soleil pendant la journée. Je m'arrêta brusquement car je vu un reflet dans l'eau, le reflet d'un cheval derrière moi.