Un monde semblable.

June:

Hahahahahaa. Sergueï ...Tu ne me trouveras jamais.... Houhou par ici !

Un nuage de poussière s'envole autour de son corps, faisant roujoyer encore un peu plus sa couleur feu. Elle danse encore dans ce tourbillon lumineux; de ses longues jambes fines et solides, de ces sabots blonds qui percutent le sol avec légèreté, de sa queue rousse qui vole qui tourbillone et qui sans crier garde nous flagole le corps. Et l'air constitué de millier de particulles minuscules qui la rende plus belle que jamais. Elle ne reste jamais au même endroit, on a du mal à la suivre, elle sait jouer avec la lumière et les lieux.

Sergueï:

Je la cherche du regard, comme nous l'avions toujours fais, nous jouions à cache cache mais cette fois-ci, dans un endroit différent qui nous semblait si commun. Du sable partout, une chaleur presque insoutenable, une lumière particulière, une air particulière, tout ici m'étais connu. Je la cherche du regards à travers ses colonnes rouges cru, je la suis, je la bloque, j'entre dans son jeu et au final, je l'attrape.

-Ne sois pas toujours si sûr de toi June, un jour quelqu'un te surprendra...

J'avais dis ça d'une manière sensuelle qui m'étais toujours égale à ma soeur. Tout à coup, un bruit là un peu plus loin dans les tranchées nous fis nous arrêter de jouer et tout deux nous nous mettions aux aguêts.

June:

Un hénissement l'avait faite arrêté son jeu, elle s'était précipité aux côté de son frère pour être en sécurité. Tout deux collés, tout deux de la même couleurs, tout deux ne formaient qu'un. Des sabots s'approchèrent et non loin d'eux, un cheval couleur du miel leur lançait un simple "bonjour" innoncent et non inventargué. Le cheval continuait sa route jusqu'au petit ruisseau couleur turquoise qui passait par là.

June prit son plus belle air, sa plus belle posture et lui répondi gracieusement:

-Bonjour.

Sergueï :

Collé à ma soeur, je guête l'arrivée de l'inconnu près à nous défendre si besoin. Mas au lieu de ça, un cheval couleur sable passait devant nous en nous lançant un bonjour comme si tout celà était normale. Ma soeur faisait la belle comme d'habitude elle se devait d'être la meilleure aux yeux de tous comme elle l'avait toujours étée. Le cheval passait sa route pour aller boire un peu plus loin dans ce ruisseau lumineu qui éluminait encore plus les lieux.

J'abandonnais ma soeur à son profit. Un légé vent venant de l'est m'apportait l'odeur de la jument car oui, cette fois j'en étais sûr, c'était une jument. D'un pas gracieu je m'avançais vers le point d'eau pour à mon tour, soulager ma soif à longues goulées. Discrètement je guettais sa beauté, sa couleur s'assortissait redoutablement bien avec ce décort si magique. Elle avait de beaux crins noirs et des yeux noisette dans lesquel je me perdi vite. Un battement de sabot me fit reprendre conscience et je relevais la tête pour lui parler alors qu'elle continuait à boire.

-Qu'est-ce qu'une sable comme vous faites seule un endroit si vicieu?

Aucune réponse...Elle continuait à boire. Décidément elle me plaisait.

-N'avez vous pas peur qu'un étalons aux mauvaises intentions vous surprennes dans l'un de ses couloirs ?!

Ma seur vint me rejoindre et poser sa tête sur mon flanc en signe d'amour et de possession.

June :

La jument qui s'appellait Solweig semblait complètement l'igniorer. June n'avait pas l'habitude de se faire passer ainsi pour rien; elle en fut fortement perturbée et choquée mais elle gardait son calme car après tout, son frère lui appartenait. June se contentait de sourire, de garder une position très élégante et de rester au près de son frère.

Sergueï :

La couleur sable s'appellait Solweig et semblait vraiment très charmante. J'allais poursuivre la converstion quand celle-ci me demandait mon nom. Je me grandis et pris mes plus beax airs.

- Je m'appelle Sergueï et voiçi ma protégée June.

Je désignais ma soeur jumelle de la tête.

- Nous venons d'arriver sur ces terres et n'avons encore rencontrés personne mais nous avons pris goût pour cet endroit où le soleil est dur.

Je regardais le ciel entre les paroies des tunels.

- Savez-vous comment s'appelle cette vaste terre ? J'ai vu en arrivant une grande forêt mais je ne m'y suis pas encore aventuré car mon coeur est au sable...